Béjart, Ravel, un boléro, 15 minutes de bonheur
Ce soir, c'était sur Arte, hommage à Maurice Béjart, un boléro de rêve et quinze minutes de bonheur

Superbe version du ballet de Béjart sur la musique de Maurice Ravel, avec la fameuse danseuse étoile du Bolchoï, Maïa Plissetskaïa.
De cette œuvre célébrissime, Béjart disait : « Musique trop connue et pourtant toujours nouvelle grâce à sa simplicité. Une mélodie (d’origine orientale et non espagnole) s’enroule inlassablement sur elle-même, va en augmentant de volume et d’intensité, dévorant l’espace sonore et engloutissant à la fin la mélodie. »
Dans sa légendaire chorégraphie du Boléro, Béjart confia le rôle central, c’est-à-dire la Mélodie, alternativement à un danseur et à une danseuse, tandis que le Rythme est interprété par un groupe de danseurs. Dans cette version filmée en 1977, la Mélodie est dansée par Maïa Plissetskaïa, monstre sacré que son public nommait la bombe incendiaire du Bolchoï, dont Staline exécuta le père et déporta la mère et qui fut chantée par Aragon et couverte par Mao de roses blanches…
Sans autre commentaire, ci-dessus le texte extrait du site Arte.
Les liens d'une version sur YouTube en 2 parties sont précisés en Page "Boléro, Ravel, Béjart".

Superbe version du ballet de Béjart sur la musique de Maurice Ravel, avec la fameuse danseuse étoile du Bolchoï, Maïa Plissetskaïa.
De cette œuvre célébrissime, Béjart disait : « Musique trop connue et pourtant toujours nouvelle grâce à sa simplicité. Une mélodie (d’origine orientale et non espagnole) s’enroule inlassablement sur elle-même, va en augmentant de volume et d’intensité, dévorant l’espace sonore et engloutissant à la fin la mélodie. »
Dans sa légendaire chorégraphie du Boléro, Béjart confia le rôle central, c’est-à-dire la Mélodie, alternativement à un danseur et à une danseuse, tandis que le Rythme est interprété par un groupe de danseurs. Dans cette version filmée en 1977, la Mélodie est dansée par Maïa Plissetskaïa, monstre sacré que son public nommait la bombe incendiaire du Bolchoï, dont Staline exécuta le père et déporta la mère et qui fut chantée par Aragon et couverte par Mao de roses blanches…
Sans autre commentaire, ci-dessus le texte extrait du site Arte.
Les liens d'une version sur YouTube en 2 parties sont précisés en Page "Boléro, Ravel, Béjart".