La Tendresse... en version symphonique confinée
Une tendresse que n'aurait probablement pas reniée Bourvil, son interprète d'origine, année 1963, une tendresse revisitée façon symphonie, mais en solo, chacun chez soi, en solos confinés !...
Et l'ensemble forme un tout au résultat spectaculairement réussi et tendrement poétique, tendresse oblige...
MERCI à tous les artistes qui, rivalisant d'imagination et de créativité, s'impliquent à aider au mieux à supporter ce confinement, le meilleur moyen décidé en soutien de l'ensemble du personnel soignant, toujours aussi admirable de courage et de conscience professionnelle, que l'on ne remerciera jamais assez, sans oublier toutes celles et ceux qui œuvrent dans nombre d'activités différentes qui permettent de rendre ce confinement aussi vivable que possible.
A ce jour, une tendance d'amélioration semble se dessiner...